MOMENT MUSICAL AU CHÂTEAU, concert

2 septembre au Château d’Arcelot (21)

Belinda Kunz, mezzo-soprano,
Jean-Dominique Burroni, piano,
Stéphane Limonaire, flûte,
Laurent Sultan, clarinette, 

Musiques de Rossini, Schubert, Brahms, Tchaikovsky, Bela Kovacs, Ambroise Thomas, Massenet, Offenbach

Dans le ravissant salon du château, ouvert sur les magnifiques jardins, un moment musical enjoué qui passe du plus classique avec les volubiles variations de Rossini pour clarinette, des mélodies choisies de Schubert et sa merveilleuse sonate Arpeggione dans l’aérienne version pour flûte, aux musiques de genre avec les Zigeunerlieder de Brahms, de la musique russe en trio, et le brillant Shalom Aleichem de Bela Kovacs pour clarinette. Le concert se termine par une libre promenade dans les must de l’opéra et de l’opérette : Méditation de Thaïs, Mignon, Offenbach…

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31 juillet – La Métairie

HISTOIRE DE CARMEN, BIZET / MÉRIMÉE

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Photos Corel - Galapagos

Béatrice MALVEZIN

 Artiste peintre autodidacte et instinctive, 

Influencée par des artistes comme Mark Rothko, Jackson Pollock, Gaston Chaissac, Sean Scully, Antoni Tàpies, Robert Rauschenberg, Kako Topouria, Sophie Costa …
Techniques mixtes (collage, acrylique, craie grasse, stylo…)
Supports: toile ou bois

Un séjour  hivernal à New York en 2010 a inspiré à Béatrice Malvezin le thème des «Cités».
L’atmosphère  magique de cette ville imposante l’amène à s’interroger sur la disproportion de ces tours et des lueurs humaines qui y fourmillent. 
Cet enchevêtrement de tours de prime à bord inquiétant par sa démesure laisse place à un intérêt pour le jeu de perspectives, d’éclairages, de transparences.
C’est par son imagination et le travail instinctif de la forme et de la matière que Béatrice Malvezin parvient  à nous transmettre  son regard naïf et étonné sur la Cité.
L’œil peut  se perdre, chercher et s’accrocher parfois à des lueurs rassurantes de vie.   

«Tantôt hostile, tantôt familière, tantôt énigmatique, la cité nous offre des perspectives aux multiples jeux d’ombres et de lumière.
J’aime comme ces immenses Légos  se découpent et s’offrent aux reflets du ciel. 
Les Murs, morts de loin deviennent vivants par leurs matières et leurs fenêtres sont autant d’ouvertures sur la vie, écrans superposés aux multiples programmes.
Parfois les façades géométriques se font quadrillages, la grisaille domine la couleur en épaisseur.
Parfois le vert me manque et les immeubles s’élancent en brins d’herbes…»
Exposition: LA CITE du FUTUR  à LORMES