PRIMA LA VOCE – création 2023

27 juillet à La Métairie à Savelot (58)  – ANNULÉ 

Belinda Kunz, mezzo-soprano : la chanteuse, 
Arthur Cornelio, ténor : le chanteur, 
Valentin Mansard, le pianiste, 
Chiara, la journaliste,
 

Monteverdi, Glück, Rossini, Donizetti, Tchaikovsky, Bizet, Ravel….

On reproche toujours aux chanteurs de ne pas être compréhensibles, à l’Opéra de Paris on propose des sous titres en français même aux opéras français… Alors quelle est la juste place du texte dans l’opéra ? Quelle est la part du chant et de la musique ?
Dans le style du Grand Echiquier, la charmante journaliste Iris Debernardi, grande connaisseuse d’opéra, a décidé de proposer une émission télévisée sur ce thème , mettant en regard la rivalité permanente entre le chant et le texte, source de bien des conflits entre metteur en scène, chanteurs et chefs d’orchestre.

Elle a pour invité un couple de chanteurs célèbres et leur pianiste accompagnateur . La discussion s’installe autour des « best of » du chant lyrique italien, russe, français….

WINTERREISE – Le disque

Belinda Kunz, mezzo-soprano & Jean-Dominique Burroni, pianiste

Le master est finalisé, nous vous donnerons bientôt des nouvelles de la sortie du disque.

Coming soon…

Béatrice MALVEZIN

 Artiste peintre autodidacte et instinctive, 

Influencée par des artistes comme Mark Rothko, Jackson Pollock, Gaston Chaissac, Sean Scully, Antoni Tàpies, Robert Rauschenberg, Kako Topouria, Sophie Costa …
Techniques mixtes (collage, acrylique, craie grasse, stylo…)
Supports: toile ou bois

Un séjour  hivernal à New York en 2010 a inspiré à Béatrice Malvezin le thème des «Cités».
L’atmosphère  magique de cette ville imposante l’amène à s’interroger sur la disproportion de ces tours et des lueurs humaines qui y fourmillent. 
Cet enchevêtrement de tours de prime à bord inquiétant par sa démesure laisse place à un intérêt pour le jeu de perspectives, d’éclairages, de transparences.
C’est par son imagination et le travail instinctif de la forme et de la matière que Béatrice Malvezin parvient  à nous transmettre  son regard naïf et étonné sur la Cité.
L’œil peut  se perdre, chercher et s’accrocher parfois à des lueurs rassurantes de vie.   

«Tantôt hostile, tantôt familière, tantôt énigmatique, la cité nous offre des perspectives aux multiples jeux d’ombres et de lumière.
J’aime comme ces immenses Légos  se découpent et s’offrent aux reflets du ciel. 
Les Murs, morts de loin deviennent vivants par leurs matières et leurs fenêtres sont autant d’ouvertures sur la vie, écrans superposés aux multiples programmes.
Parfois les façades géométriques se font quadrillages, la grisaille domine la couleur en épaisseur.
Parfois le vert me manque et les immeubles s’élancent en brins d’herbes…»
Exposition: LA CITE du FUTUR  à LORMES