Nicolas BONNAMY

  Vidéaste,  

Originaire de région parisienne, épris de liberté, Nicolas Bonnamy débute sa carrière professionnelle avec de multiples expériences qui aiguisent sa curiosité et l’enrichissent de nombreuses rencontres. C’est grâce à l’une de ces rencontres qu’il vient à la vidéo. Il travaille d’abord comme assistant de chefs opérateurs et apprend son métier à leur contact et aussi beaucoup par lui-même. Il assiste ensuite des réalisateurs de cinéma et découvre le travail de la pellicule, occasion supplémentaire de parfaire sa formation technique et sa rigueur. L’arrivée du numérique lui ouvre un vaste de champ de possibles et il commence alors à tourner ses propres projets.

Il réalise avec Gaston Berthier, en indépendants, « Paris se lève à l’Est », une balade poétique dans Paris, puis « Un travail qui déchire » son premier projet en solitaire. Il réalise de nombreux courts-métrage avec Muriel Martin, clown et marionnettiste. Il est de plus en plus demandé comme cadreur et travaille pour la télévision, des compagnies de théâtre. À partir de 2012, il filme régulièrement les spectacles de la compagnie Opéra Autrement. Au fil des ans, c’est une solide amitié et entente artistique qui se nouent dans le travail. Il commence à tourner pour Winterreise de Schubert au printemps 2021.

OPERA JAZZ FUSION, concert

27 juillet à La Métairie à Savelot (58)

Belinda Kunz, mezzo-soprano,
Quentin Gouraud, guitares,
Valentin Mansard, piano,

Musiques de Wagner, Tchaikovski, De Falla, Weill, Fisher, Mokridge…

OPERA JAZZ FUSION, c’est l’histoire d’une rencontre entre une chanteuse lyrique, un pianiste classique et un guitariste de jazz. Quand l’air de Pauline de la Dame de Pique prend des allures de standard de jazz, quand la Leonore de Donizetti vient entourée des ses bous, quand Beethoven se teinte de Spike Jones, le public enchanté et mystifié ne sait plus trop ce qu’il entend : un grand air d’opéra ou une chanson… du classique ou du jazz ?

Les arrangements et interprétations rivalisent d’invention et d’humour, dans une complicité totale entre les artistes. Il en ressort un matériau contemporain qui puise dans une foule d’inspirations : des grands jazzmen aux divas de tous bords, du traditionnel au conte grinçant, du western au film noir en passant par la comédie musicale hollywoodienne. 

Plus qu’un simple concert, Opéra Jazz Fusion se meut dans l’univers du cabaret et de la revue,  suivant librement associations d’idées, mouvements de la musique, inspirations soudaines et courants souterrains.

À travers une recherche musicale et un travail de crossover entre le classique et le jazz, le projet est très fortement marqué par un désir d’ouvrir les frontières des genres musicaux et de provoquer la rencontre, à la fois sur scène et hors scène. Sur scène, car les artistes, issus de mondes différentes, se confrontent à d’autres pratiques et s’enrichissent à leur contact, et hors scène car Opéra Jazz Fusion s’adresse volontairement à un public mixte et ouvert. 

LES PLUS 

Le spectacle peut être accompagné de moments de rencontre avec le public ou d’ateliers de découverte mettant en valeur les différences entre le classique et le jazz, les spécificités de nos instruments, nos méthodes de travail. 

AFTER THE BALL, concert

21 juillet à Dijon, 
et 22 juillet à l’Abbaye d’Auberive (52), 

Belinda Kunz, mezzo-soprano,  
Laurent Sultan, clarinette, 
Hugo Degorre, accordéon, 

Conception : Belinda Kunz, 

Musiques de Gounod, Meyerbeer, Donizetti, Bellini, Schubert, Lehar, Bela Kovacs, Obradors, Montsalvage, Galliano, Kosma, Thiriet, Gaby Verlor, Joan Morris et William Bolcom, Kurt Weill 

Dans une salle de bal imaginaire et intemporelle se croisent, au son de la voix lyrique, de la clarinette et de l‘accordéon, des musiques de Gounod, Bellini, Rossini, Schubert, Lehar, Montsalvatge, Galliano, Kurt Weill, Kosma ou Gaby Verlor. Le Bal… mot magique, joie de la fête, couples enlacés et rondes folles. Quand le corps s’abandonne aux mouvements de la musique, quand la musique se laisse entraîner par le rythme des corps, c’est la vie qui déborde. Danses populaires, valses, balancement des berceuses, boléros, habaneras, csardas, tangos… tantôt franche et entraînante, tantôt plus intérieure, à l’état de simple évocation ou de souvenir lancinant, la danse se promène comme un fil rouge de musique en musique, emplissant l’air d’un parfum doux et entêtant. Tout au long du concert, la chanteuse s’amuse à retrouver ce parfum de danse parfois chez les musiciens les plus inattendus, la clarinette lui propose d’autres échappées, et l’accordéon tantôt soliste, tantôt à l’écoute du chant, donne au programme sa saveur populaire et nostalgique.
www.belindakunz.com

Pour aller plus loin dans la démarche d‘ouverture et de partage qui est la leur, les musiciens pourront proposer, en amont ou à l‘issue du concert, des moments de rencontres et d‘échanges, dans des formats différents : – rencontres en amont : découverte du répertoire, découverte de la voix lyrique et de l‘accordéon. – ouverture d‘une répétition au public – échange avec les artistes à l‘issue du concert – ou toutes formes d‘échanges à imaginer ou co-construire avec les lieux qui nous accueillent.

STRASBOURG (67) – Kiosque en musique – (création, août 2022)
FIXIN (21) – L’Opéra Voyageur – (24 septembre 2022)
OUROUX-EN-MORVAN (58), L’Opéra Voyageur (25 septembre 2022)

À venir :
DIJON (21) – 21 juillet 2023
ABBAYE D’AUBERIVE (52) – 22 juillet 2023
AHUY (21) – 23 septembre 2023
LORMES (58) – 24 septembre 2023

PRIMA LA VOCE – création 2023

27 juillet à La Métairie à Savelot (58)  – ANNULÉ 

Belinda Kunz, mezzo-soprano : la chanteuse, 
Arthur Cornelio, ténor : le chanteur, 
Valentin Mansard, le pianiste, 
Chiara, la journaliste,
 

Monteverdi, Glück, Rossini, Donizetti, Tchaikovsky, Bizet, Ravel….

On reproche toujours aux chanteurs de ne pas être compréhensibles, à l’Opéra de Paris on propose des sous titres en français même aux opéras français… Alors quelle est la juste place du texte dans l’opéra ? Quelle est la part du chant et de la musique ?
Dans le style du Grand Echiquier, la charmante journaliste Iris Debernardi, grande connaisseuse d’opéra, a décidé de proposer une émission télévisée sur ce thème , mettant en regard la rivalité permanente entre le chant et le texte, source de bien des conflits entre metteur en scène, chanteurs et chefs d’orchestre.

Elle a pour invité un couple de chanteurs célèbres et leur pianiste accompagnateur . La discussion s’installe autour des « best of » du chant lyrique italien, russe, français….

CINÉ-CONCERT : THE LOST WORLD

30 juillet 2023, Le Clap, Ouroux-en-Morvan (58), 

Film muet de 1925 d’après le roman « Le Monde Perdu » de Sir Arthur Conan Doyle
Accompagné en live par Phileas Rogue, alias Philippe Borecek, accordéoniste. 

The Lost World a marqué son époque pour ses effets spéciaux révolutionnaires, En effet, ce film précurseur est celui qui annoncera dans les décennies suivantes les grands films de monstres tels que le fameux « King Kong » en 1933 ou encore les « Godzilla » et autres «Gorgo » . Adaptation (presque) fidèle de l’œuvre d’Arthur Conan Doyle, célèbre romancier britannique à qui l’on doit également le personnage de Sherlock Holmes, « The Lost World » donnera également naissance à de nombreux remakes et pseudos remakes dont les plus connus demeurent « The lost world » d’Irwin Allen (1960), « Return to the lost world » (1992) et la saga des Jurassic Park que l’on ne présente plus aujourd’hui. Ce chef d’œuvre longtemps oublié de 1925 a été restauré dans sa forme d’origine par le British Film Institute.

Philippe Borecek a entièrement écrit la musique qu’il interprète à l’accordéon, durant la projection. S’inspirant des airs et des rythmes des années 20, y insérant quelques morceaux de compositeurs connus à cette époque (Ketelbey, Elgar, Stravinski, etc.), il propose un accompagnement plein de vie, soucieux de ne pas écraser le film, mais au contraire se mettre au services des émotions de chaque séquence.

Synopsis : Le professeur Challenger a un objectif : retrouver la trace d’un monde rempli d’étranges créatures décrit par l’explorateur Maples White. Pour cela, il met en chantier une expédition formée de sa fille Paula, du professeur Summerlee, du journaliste Edward Malone et de Sir John Roxton. Dix jours après leur départ, les aventuriers parviennent en pleine jungle amazonienne et découvrent un spectacle saisissant : devant eux se dresse un paysage entièrement peuplé de dinosaures et autres espèces de l’ère quaternaire. Ils décident alors de capturer l’une de ces extraordinaires créatures et de la ramener à Londres…